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booming business story de Je me souviens

foto van Isabelle Blaise - Je me souviens

Isabelle Blaise

Pourquoi jeter un objet qui peut encore servir ? Dans ma boutique de deuxième main, je vends des objets anciens et de tous les jours mais également de la belle vaisselle, des objets « vintage », des objets de déco… Je suis également active dans la récupération et la restauration / transformation de meubles et contribue ainsi à donner une seconde vie aux objets qui passent entre mes mains. « Je me souviens… » est une véritable caverne d’Ali Baba où les clients replongent dans leurs souvenirs et repartent satisfaits d’avoir trouvé ce qu’ils cherchaient.


Se reconvertir et devenir indépendant en Belgique : c’est possible !

Je m’appelle Isabelle et je suis née en 1970. Passionnée par tous les objets, j’aime leur donner une seconde vie. Par exemple, j’adore patiner et relooker les meubles anciens. Au service de mes clients, je suis facilement joignable grâce aux différents canaux qui sont à notre disposition : les réseaux sociaux (Facebook, messenger et Instagram depuis peu), le téléphone ou encore dans ma boutique les jours d’ouverture (le mercredi, le samedi et le troisième dimanche du mois lorsque j’organise une brocante rassemblant jusqu’à 45 exposants). Grâce à un réseau de professionnels qui s’élargit jour après jour et à mes connaissances qui s’améliorent également avec les années d’expérience, je peux vite répondre favorablement aux recherches particulières de mes clients. A ma fidèle clientèle, j’offre d’autres services, par exemple le rachat d’objets, la livraison des meubles que je vends ou encore la mise en relation avec les services d’un vide maison professionnel, efficace et compétent avec qui je travaille.

Mon parcours…

Fille d’indépendants, j’ai toujours voulu le devenir. Maman célibataire de trois garçons, j’ai cependant bien été obligée de travailler en tant qu’aide-ménagère durant une dizaine d’années lorsque mes enfants réalisaient leurs études. Grâce au soutien de la Région Wallonne et du Forem, j’ai néanmoins pu lancer mon activité dans un secteur qui me tiens à cœur : le monde de la brocante et de l’upcycling. De manière complémentaire dans un premier temps, pour devenir complètement indépendante ensuite, peu de temps avant la crise du COVID. Cette crise qui a d’ailleurs compliqué le lancement mon activité « non essentielle » en limitant de   manière conséquente les « achats plaisir ». Mais heureusement, notamment grâce au programme Digital Commerce mené par le SNI et la Wallonie, j’ai pu lancer mon activité en ligne et me former à l’utilisation des réseaux sociaux dont Facebook et ainsi me faire connaitre.

Le commerce, une histoire de famille…

Il y a 50 ans, ma boutique était déjà un commerce : c’est ma maman qui était la gérante d’une quincaillerie assez éloignée d’un centre-ville commerçant. « Je me souviens… » est situé dans le centre d’un petit village de la botte du Hainaut, Strée, et se faire connaître (en ligne) était donc et reste une priorité !